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Confinée dans une maison avec deux boules d’énergie de deux et cinq ans, je commence à les photographier. Si en physique, l’énergie est égale à la puissance par le temps, je m’interroge alors sur l’impact du temps qui passe sur ces enfants : comment leur énergie évolue t-elle durant ce temps qui se dilate ? Comment cette force en action s'adapte t-elle à l'immobilité imposée par l'enfermement ?
Ces photos tentent de capter ce qui se passe dans les interstices de ce temps suspendu, entre la joie et l’ennui, le repos et le surmenage, entre l’ombre et la lumière.











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